Die Zeit, die bleibt. Le temps qui reste.

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In den letzten 4 Minuten dieses 4. Februars ereilt mich eine Nachricht, von der ich wusste, dass sie bald kommen wird aber so bald nun auch nicht.

Dieser 4. Februar ist Weltkrebstag.

Auch sie wird ihn nicht überleben,  diesen verdammten Verräter. So stark sie auch bisher in ihrem Leben war, mehrfach den harten Weg der Therapien gegangen ist, so scheinen jetzt die Medikamente immer mehr ihren Körper zu schwächen.

Noch am Abend hatte ich die Diskussion, wie weit man in Behandlungen gehen darf, wie lange Therapien Sinn machen, ab wann verliert ein todkranker Mensch seinen Mut und vorallem seine Würde. Fragen, die so in der Öffentlichkeit nicht gestellt werden, nicht gestellt werden dürfen. Und doch sind sie so wichtig.

 

Dans les dernieres 4 minutes de ce 4 février je recois un message auquel je m’attendais mais pas si vite.

Ce 4 février est la journée mondiale contre le cancer.

Elle non plus ne le survivra pas, ce terrible traître. Et pourtant jusqu’à présent elle était toujours tellement forte dans sa vie, elle ne s’est jamais laissé abbattre par le dur chemin de plusieurs thérapies. Malheureusement ces mêmes thérapies ont tellement fatigués son corps.

Encore pendant la soirée j’avais une discussion sur jusqu’à où devrait-on aller avec les traitements, combien du temps une thérapie a du sens, à partir de quand un être humaine condamné à la mort perd le courage et la dignité. Des questions qui ne sont pas posé en publique, qui sont presque interdit de poser ouvertement. Mais elles sont importantes.

 

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