“Es geht nicht darum, dem Leben mehr Tage sondern den Tagen mehr Leben zu geben.”
“Il n’est pas la question de donner plus de jour à la vie mais plus de vie aux journées.”
Bereits in meiner Kindheit war ich begeistert vom Garten meiner Großeltern. Unzählige bunte Blumen, ein großer Kirschbaum, ein Aprikosenbaum, das Gurkenzelt meines Opas, ein kleiner Teich und mein Sandkasten auf der Wiese. Das war mein Reich. Darauf freue ich mich jedesmal beim Nach-Hause-Kommen, denn leider habe ich es bisher nur zu Balkonien geschafft.
Nun aber gibt es in meinem Leben einen “Adoptivgarten” an der Mosel, den ich nach und nach vom Unkraut der letzten Jahre und vom Abfall der Gelegenheitsbesucher befreie. Er dankt es mir, indem er blüht und mir ein Ort des Wohlfühlen geworden ist.
Déjà dans mon enfance j’étais enchantée par le jardin de mes grand-parents. Des fleurs de partout, un énorme cerisier, des abricots, la serre de concombre de mon Opa, un petit étang et mon bac à sable au milieu. C’était mon royaume et je me réjoui encore aujourd’hui chaque fois que je rentre à la maison. Malheureusement j’ai seulement réussi d’avoir une terrasse jusqu’à présent.
Désormais il y a un petit jardin “adoptif” près de la Moselle que je délivre peu à peu des mauvaises herbes et du déchets des certains visiteurs passagère. Il me le remercie en fleurissant et en étant devenu un endroit de bien-être pour moi.
Dieser Tag ist das Leben allen Lebens.
Während ich mir überlege, was ich zu diesem Spruch schreiben könnte, erzählt mir mein Taxifahrer von einem tragischen Unfall, der sich gestern in Luxembourg ereignet hat, eine junge 22-jährige Frau hat dabei ihr Leben verloren. Fährt man bewusst mit 160 km/h auf einer kurvenreichen Landstraße? Oh wie furchtbar. Und wieder wird mir bewusst, wie schnell ein Leben zu Ende sein kann.
Insofern stimmt der Spruch schon irgendwie… Jeden Tag das Leben leben.
In stillem Gedenken an alle Personen, die durch einen Unfall verstorben sind.
Ce jour est la vie de toute vie.
Pendant que je réfléchisse quoi écrire aujourd’hui, mon chauffeur de taxi me raconte d’un tragique accident qui s’est passé hier à Luxembourg. Une jeune femme de 22 ans a perdu sa vie. Est-ce qu’on roule exprès à 160km/h sur une petite route plein de virage? Oh que c’est terrible. Et de nouveau je me rend compte à quelle ficelle fine tient notre vie.
Pour cela la phrase du jour est approprié aujourd’hui… Vivre chaque jour la vie.
En mémoire à ceux qui sont partis suite à un accident.
Geht nur, wenn man bereit ist, sich von Altlasten zu trennen, aufzuräumen, loszulassen. Und genau darin liegt die Herausforderung, denn wie “sicher” fühlen wir uns, wenn wir von uns vertrauten Dingen umgeben sind. Altes aufheben, weil man es ja noch irgendwann einmal gebrauchen könnte oder weil man nicht loslassen kann von … Briefen aus vergangenen Lieben, Souvenirs aus sämtlichen Urlauben, Tagebuchseiten aus der Jugend, längst zu enge Jeans, verwaschene Lieblings-T-Shirts.
Unsere schönsten Erinnerungen tragen wir im Herzen, dazu braucht man keinen Dachboden.
Es lebt sich tatsächlich leichter, wenn man den Koffer des Lebens gelegentlich ausmistet.
Vivre léger.
Possible seulement quand on se débarrasse des déchets lourds du passé, nettoyer et se détacher. Hélas, c’est exactement la dedans le grand challenge car nous nous sentions “en sécurité” entourés des choses habituelles. On garde les vieux trucs car éventuellement nous en avons encore besoin un jour ou parce que nous n’arrivons pas à se débarrasser… des lettres des amours longtemps passés, des souvenirs de vacances, des pages du journal de sa jeunesse, des jeans trop déroutés depuis un bon moment, du t-shirt préféré troués et lavé une centaine de fois.
Nos meilleurs souvenirs nous les portons dans notre cœur, pas besoin d’un grenier pour ça.
Et effectivement on vit plus léger si de temps à autre on fait le tri dans la valise de vie.